Léa Nature : une stratégie bio
Jardin Bio, Lift Argan, Enzo… Ces marques sont quelques-unes des signatures du Groupe Léa Nature. Fondé par Charles Kloboukoff, le Groupe réussit le pari d’afficher une croissance insolente tout en plaçant le respect de l’environnement et des Hommes au cœur de sa stratégie. Aujourd’hui, naturellement, Léa Nature met le cap sur l’ISO 26000.
Jardin Bio, Lift Argan, Enzo… Ces marques sont quelques-unes des signatures du Groupe Léa Nature. Fondé par Charles Kloboukoff, le Groupe réussit le pari d’afficher une croissance insolente tout en plaçant le respect de l’environnement et des Hommes au cœur de sa stratégie. Aujourd’hui, naturellement, Léa Nature met le cap sur l’ISO 26000.
D’emblée, Charles Kloboukoff, Président Fondateur du Groupe donne le ton : « L’entreprise moderne doit se soucier du social, du sociétal et pas seulement
de sa performance économique ». Léa Nature conçoit, fabrique et distribue plus de 1 300 produits naturels, biologiques et équitables dans les secteurs de la cosmétique, de l’alimentation, de la santé, du textile et de la maison.
Avec l’éthique comme fil rouge de son développement, le Groupe a toujours privilégié les partenariats avec les producteurs locaux et les coopératives. Et, depuis 2007, Léa Nature consacre 1% du chiffre d’affaires de ses marques bios à la protection de l’environnement. Juste retour des choses, en 2009, dans le cadre du Prix de l’Entrepreneur de l’Année, Charles Kloboukoff est le premier entrepreneur à recevoir le Prix du Business Vert.
Depuis sa création en 1993, le Groupe repose sur un socle de valeurs qui le conduit naturellement à s’engager plus avant dans la RSE. « La norme ISO 26000 touche non seulement à l’environnement, mais aussi au social et au sociétal. Elle aborde tous les aspects du fonctionnement de l’entreprise, même la gouvernance », précise Cécile Costes, responsable qualité du Groupe. « L’ISO 26000 influe sur les relations du Groupe et nous oblige à améliorer les relations avec les partenaires les plus proches. Une des étapes consiste en effet à définir ces parties prenantes et leurs sphères d’influence. »
Un comité restreint ISO 26000 composé de six personnes a donc planché toute l’année 2010-2011 sur une « autoévaluation » au sein du Groupe. « Nous entrons maintenant dans la phase où nous prenons contact avec les parties prenantes pour identifier un interlocuteur et définir ensemble les plans d’action. Nous nous donnons six mois. Ensuite, il nous faudra environ un à deux ans, parce qu’il nous faut tenir compte de plus de 400 critères ! », Souligne Cécile Costes.